24 heures après le drame de l'incendie de Notre Dame, avant que les dernières braises ne soient complètement refroidies, les annonces de dons de la part des richesses de France et d'ailleurs sont sujettes à polémique.
Ces "riches" qui se font donateurs n'ont aucune obligation et s'ils ne le faisaient pas ça leur serait également reproché. Que ceux qui crient au scandale des dons sachent que ces familles riches contribuent en toute discrétion, tout au long de leur vie, à des actions caritatives, à des aides, à des dons pour la recherche, pour les hôpitaux, pour les orphelins, pour les handicaps. C'est tout à leur honneur. La charité est une pratique courante pour elles. À la différence de ceux qui les accablent de reproches, d'injures, il sont dans le silence d'actes bienfaiteurs que je salue et que je sais retenir. Je considère lamentables les aboiements de ces chiens qui réclament des riches ce qu'ils ont su gagner par leur travail, leur courage, leur intelligence, leur réussite. En même temps ils ont donné du travail, fait des emplois et nourri des vies, des familles et contribué au budget de l'état, au « fonctionnement » de la France, à son rayonnement.
Madame Ingrid Levavasseur est de ces premiers offusqués qui reprochent aux riches donateurs pour la reconstruction de Notre Dame de ne pas avoir les mêmes réflexes pour les démunis de la société. Qu'en sait-elle ? Elle crie aux médias cette ignorance choquante, alors que ex-auxiliaire des hôpitaux elle devrait connaître et reconnaître la générosité dont font preuve celles et ceux auxquels elle porte des accusations injustes. D'autre part cette Ingrid Levavasseur n'a aucune notion de grandeur. Si un milliard d'euros c'est beaucoup, partagé pour 10 millions des plus nécessiteux, ça ne représente que moins de 150 Euros par famille. Pas de quoi les sauver de la misère. Peut-être Mme Levavasseur pourrait-elle faire d'abord le procès de son cursus, de ses comportements, de sa vie personnelle ? Enfuie de chez elle à 16 ans, pas d'études, très vite un premier enfant, puis un deuxième, un divorce … Seule aujourd'hui avec deux enfants elle ne travaille plus, c'est trop dur dit-elle, et vit des aides diverses de l'état, à la charge du contribuable. Comment élève-t'elle ses enfants alors qu'elle va de rond-point en studios de télévisions, en réunions, en meeting. Quand on a rien comme bagage comment prétendre à un métier facile - si cela existe- ?
Je suis outré de ces polémiques qui s'attaquent à la générosité, à la charité dont font preuves ces familles "fortunées" qui ont réussi à constituer des empires qui font la richesse de la France. Je leur dis MERCI et peu importent les commentaires aigris, acides, « les chiens aboient, la caravane passe ».
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