Conclusion de l'édito de F.O.G. Dans le Point de cette semaine :
Même si tout ce qu’on sait, comme disait Socrate, c’est qu’on ne sait rien, on peut au moins être sûr d’une chose : après avoir pris conscience de notre petitesse dans le cosmos, nous sortirons grandis de l’épreuve du coronavirus. Surtout si nous avons profité de l’occasion pour lire. Quand tout va mal, rien ne vaut quelques lichées de philosophie : ça fait du bien. Du Nietzsche, par exemple, avec un sourire en coin :
« Ce qui ne tue pas me rend plus fort. »« Il n’est jamais trop tôt, il est toujours trop tard. »
« La liberté, c’est de savoir danser avec ses chaînes. »
« Les convictions sont des ennemis de la vérité bien plus dangereux que les mensonges. »
« Souffrir de la solitude est mauvais signe ; je n’ai jamais souffert que de la multitude. »
Bon confinement !
Lire est le meilleur « véhicule » pour s'évader tout en étant confiné. Heureux ceux qui comme moi possèdent une liseuse et peuvent télécharger les œuvres, les documentations qui les intéressent.
Je vais revenir sur les écrits de Nietzsche qui m'inspirent toujours, je vais relire "La Peste" de Camus pour me replonger dans cette œuvre qui est dans l'esprit de ce que nous subissons. Lectures, téléchargements gratuits pour ces œuvres passées dans le domaine public et offertes sans coûts de droits d'auteur ou à très petits prix, profitons-en et apprécions.
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