Compte tenu du non-respect du confinement décidé, seule solution pour sortir d'une contamination exponentielle des cas de COVID-19, des mesures encore plus restrictives sont envisagées. En cause les comportements lamentables de populations qui ne respectent pas le confinement demandé.
J'étais en début d'après-midi à la pharmacie de la Rotonde à Tours. Des policiers en grand nombre étaient présents qui demandaient à de nombreux individus rassemblés de rentrer chez eux. Les contrôles effectués ont montré pour nombre d'entre eux l'absence de papiers d'identité. Sans argent en poche, impossible de verbaliser et d'appliquer la sanction d'amende. Ajoutons à cela l'arrogance des ces délinquants qui font leur travail de deal dans ce quartier, on comprend que la situation est inextricable, désespérante et ne pourra s'arranger qu'en utilisant les forces militaires pour imposer le confinement.
C'est à Tours mais c'est aussi dans tous les quartiers dits sensibles des grandes villes jusqu'aux petites villes de province. Ces débordements inacceptables et criminels pour la société ne font que nous mener vers un confinement général plus renforcé avec des contraintes qui étaient évitables. Nous en paierons tous les désagréments mais malheureusement il n'y a pas d'autre solution.
J'ai vu des policiers remarquablement patients et calmes face à une situation qui réclamait un très grand sang froid, face à des voyous, à une « pègre » qui méritait d'être dégagée à coups de matraques.
Marre de ces associations qui se disent humanitaires et qui protègent cette pègre au détriment de la santé publique, du respect des citoyens respectueux des principes et des règles de notre République. Les temps ne sont plus à tolérer ces comportements , ces attitudes insoutenables. Les irascibles qui mettent la société en danger de contamination générale ne peuvent qu'être traités avec la plus grande sévérité et la violence qui s'impose pour les mettre au pas.
L'heure n'est plus à un humanisme laxiste mais à un humanisme autoritaire pour sauver nos vies. Etat d'urgence oblige.
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