En ces temps de confinement qu'il est essentiel de respecter par souci de nous protéger et de protéger notre entourage en même temps, nous sommes confrontés a nous réfugier dans des activités possibles principalement en intérieur.
Alors les journées sont occupées par les lectures, par des parties de scrabble, par des consultations des nouvelles via internet et des sites des grands journaux, par des écoutes de musiques.
C'est ainsi que je me suis plongé dans la redécouverte d'oeuvres lues dans ma jeunesse. Parmi celles-ci « La peste » de Camus, très appropriée en cette époque de pandémie que nous subissons, tellement similaire dans tous ses aspects, "La leçon d'Allemand" de Siegfried Lenz, livre remarquable sur le sens du devoir que j'avais lu en 1972.
Coté musique hier j'ai choisi l'évasion en revenant sur les enregistrements des Beach Boys. Groupe mythique qui nous a offert des compositions très originales et qui nous emmène pour certaines surfer sur l'Océan Pacifique de la côte Californienne mais aussi parfois dans des univers imaginaires faits de rêves, d'illusions, de fantasmes révélés par les substances illicites consommées par leur compositeur (Brian Wilson). De "Surfin USA" à "God only knows", j'ai réécouté avec plaisir ces créations qui me sortent d'un emprisonnement physique et psychique imposé par ce maudit virus du Covid-19. Je redécouvre aussi ce compostiteur remarquable que fut Brian Wilson et les qualités de musiciens exceptionnels de ses acolytes de frères et cousins. Les Beach Boys, de grandes références de la Pop Music, des sonorités chatoyantes, un esprit très californiens. Ils furent parmi ces groupes légendaires de la côte Ouest par leur aura : Doors, Jefferson Airplane, Gratefull Dead, et tant d'autres.
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