Après quasiment 5 mois d'absence nous retrouvons une ville rabougrie ; victime des suites des manifestations « jaunes », des craintes légitimes du Coronavirus à nouveau très circulant et positionnant Tours en zone proche du rouge, et de l'acharnement des autophobes au pouvoir à la Mairie.
Des nouveaux élus qui n'ont que des petits vélos dans la tête et qui mettent une grande partie des voies de circulation prioritaires aux cyclistes avec des resserrements qui ne permettent plus à deux véhicules de se croiser. Le mythique Pont Wilson, dit Pont de pierre, axe principal de la traversée de Tours (Nationale 10) désormais fermé aux véhicules particuliers, réservé au tramway, aux vélos et aux piétons. Conséquence évidente, les embouteillages sur les deux ponts restants libres à la circulation sont énormes et découragent de venir en centre-ville. Comment ces allergiques à l'automobile ne comprennent' ils pas que des voies embouteillées font des pollutions environnementales, des émissions de gaz à effet de serre, très supérieures à des voies circulantes? Autre conséquence, économique, catastrophiques: Après ce que les commerces ont subi des crises jaunes et du confinement, ils sont achevés par les orientations obsessionnelles des ayatollahs verts et rouges au pouvoir.
Les débuts de cette coalition infernale avaient d'ailleurs été très annonciateurs : Augmentation du nombres des adjoints, forte augmentation des payes du Maire et des adjoints, Idem pour la Métropole !
Malgré une présence forte du Coronavirus en Indre-et-Loire cette nouvelle municipalité n'a rien fait pour protéger la population, pour l'informer, pour protéger les personnes à risques. Tout semble montrer que ces nouveaux élus sont pour une « sélection naturelle » par le virus, une élimination des plus faibles, des personnes âgées. Même attitude pour la paix et la sécurité dans les quartiers « sensibles ». L' adjoint à la Paix et la Tranquillité dès sa nomination exprimait ses volontés de douceurs pour le traitement de la délinquance et des trafics en tous genres dans ces zones où règnent les pègres, où les habitants sont les otages de groupes qui sont maîtres des immeubles et des quartiers.
L'équipe municipale précédente reconnaissait les grandes difficultés à démanteler des organisations bien installées depuis des années. Elle avait décidé de s'y attaquer en engageant des rénovations de quartiers avec des suppressions de barres de HLM devenues des nids de trafics en tous genres.
Le constat est lourd après seulement 3 mois d'une coalition Verte et rouge à la tête de la municipalité de Tours. Une conquête faite en pleine crise de Covid-19 qui avait empêché une grande majorité de citoyens d'exprimer leurs suffrages. Les pires craintes sont permises avec cette coalition infernale.
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