Beaucoup n’ont pas ce minimum qui permet de se sentir bien, d’être apaisé, d’être tout simplement heureux. Notre époque bien difficile dans un contexte économique et social perturbé, et même incertain quant à l’avenir, n’en est que plus grave pour les démunis, les sans ressources qui ne survivent que par les aides et les dons.
Alors quand on a la chance d’avoir un PETIT BONHEUR, un conjoint aimant et gentil, parfois des enfants chéris et reconnaissants, un chez-soi bien gagné, un travail régulier et assuré, la santé, que demander de plus ? Ce PETIT BONHEUR est déjà un grand bonheur qu’il faut savoir apprécier et entretenir. Demander plus, encore plus, toujours plus n’est que luxe fait d’illusion d’imaginer vivre mieux. C’est toujours possible de rêver de ces plus. C’est plus sain de ne pas en faire une obsession qui pourrit notre PETIT BONHEUR. J‘ai trop d’amis, trop de connaissances qui cachent le soleil d’un PETIT BONHEUR par des nuages d’ambitions sans espoirs, ou d’insatisfactions injustifiées, déplacées. Ceux-là vivent mal et gâchent la vie de leurs proches qui mériteraient de partager le PETIT BONHEUR qu’il faut savoir entretenir dans la joie, l’amour et la bonne humeur. La vie est toujours trop courte. A l’heure de son crépuscule il est trop tard pour dire « j’avais ce PETIT BONHEUR, je n’ai pas su le voir, je n’ai rien compris de la valeur de la vie».
Alors regardons et écoutons HUGUES AUFFRAY qui chante le PETIT BONHEUR de FELIX LECLERC et qui le présente bien. Apprécions-le, retenons-le. C’est tellement simple et beau : http://www.dailymotion.com/video/x17c89_hugues-aufray-le-petit-bonheur_music
Et si vous doutez, si le blues vient vous titiller, revenez l’écouter.
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